Apple accusé de position dominante

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Luna
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20 déc. 2023 à 17:12:09 via site

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⏩️Apple accusé de concurrence déloyale⏪️

Apple accusé d’abus de position dominante et de concurrence déloyale dans son procès contre Spotify se prépare à débourser une amende colossale !!

Si Spotify est bien le leader des plateformes de streaming musical dans la plupart des pays européens et que Apple Music n’a pas encore la mainmise sur ces marchés, la firme de Cupertino fait tout pour pousser son application. Ainsi, Spotify a porté plainte devant la Commission européenne, expliquant qu’Apple empêchait les entreprises de streaming musical d’informer les utilisateurs d’autres options d’achat en dehors de l’App Store.

Pour faire simple, les propriétaires d’appareils Apple avaient l’impression de devoir obligatoirement passer par l’App Store pour s’abonner à Spotify ou à Deezer. Sauf qu’Apple applique des tarifs plus élevés pour profiter des fameux 30% de commission sur toutes les transactions qui passent par son Store. Par conséquent, les utilisateurs d’appareils Apple avaient plutôt tendance à choisir Apple Music, qui leur coûtait moins cher sur l’App Store. En réalité, il est possible de s’abonner à Spotify ou Deezer depuis les sites Internet des plateformes et de profiter du “vrai” tarif. Mais ça, Apple se gardait bien d’en informer ses utilisateurs.

🍃De vrai tarif moins cher de 30% , c'est qu'il est temps comme sur Android de jouer franc-jeu, on en reparlera !!

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19 févr. 2024 à 13:00:55 via site

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⏩️Apple se comporte comme un dictateur ⏪️

Extorsion de fond, mauvaise foi, les développeurs sont en colère contre la nouvelle taxe d’Apple, un camouflet pour l’Europe, un avis de non conformité pour Apple qui n’a aucune intention de se conformer au DMA !!

◾️Apple se comporte comme un dictateur

Depuis des années, Apple rejette les mises à jour de l'application Tuta si elles contiennent des liens vers le site web de l'entreprise. Comme toutes les applications iOS, Tuta n'a pas non plus été en mesure d'accepter les paiements in-app directement de ses clients. Apple joue le rôle d'intermédiaire et facture des frais. Pfau espérait que les réformes de l'App Store imposées par la loi européenne sur les marchés numériques (DMA) rendraient les entreprises comme la sienne moins étroitement liées à Apple. Au lieu de cela, il est déçu par les nouvelles conditions proposées. « Ce qu'ils ont inventé est la meilleure preuve qu'ils abusent massivement de leur position dominante sur le marché », déclare-t-il. "Apple se comporte en fait comme un dictateur ».

◾️Un régime d'extorsion, une insulte pour les développeurs

Les règles du DMA permettent techniquement aux utilisateurs de son matériel de télécharger des applications à partir d'autres magasins d'applications et aux développeurs d'utiliser leurs propres systèmes de paiement, en contournant la commission d'Apple.

Mais pour accéder à ces nouvelles fonctionnalités, les développeurs doivent souscrire à de nouvelles conditions commerciales. Selon Pfau, ces conditions comprennent des restrictions qui dissuadent les développeurs de s'éloigner du statu quo. Si son entreprise, Tuta, devait tirer parti du nouveau système, les iPhone émettraient des avertissements - appelés "écrans de peur" par les critiques - informant les utilisateurs des risques de sécurité liés à l'utilisation de systèmes de paiement qui ne sont pas gérés par Apple. D'après les tests effectués par Tuta sur l'impact des popups sur les mises à jour in-app, il estime que ces avertissements dissuaderaient 50 % des utilisateurs de procéder à l'achat.

En outre, bien que les nouvelles conditions permettent à Pfau de rendre Tuta disponible dans un magasin d'applications alternatif, elles exposent également l'entreprise à une « redevance de technologie de base » chaque fois qu'elle est téléchargée ou mise à jour plus d'un million de fois au cours d'une période d'un an. Pfau admet que Tuta, qui compte selon lui plus de 100 000 abonnés payants, pourrait ne pas avoir à payer cette redevance la première année. « Mais nous sommes en pleine croissance », insiste-t-il. « Il est donc certain que nous devrons payer cette redevance au cours des deux prochaines années ».

Pour la société suédoise Spotify, la taxe sur les téléchargements constitue un problème plus immédiat si elle devait accepter les nouvelles conditions commerciales d'Apple. « Avec une base d'installation Apple dans l'UE de l'ordre de 100 millions, cette nouvelle taxe sur les téléchargements et les mises à jour pourrait faire grimper en flèche nos coûts d'acquisition de clients, les multipliant potentiellement par dix », a déclaré Daniel Ek, PDG de Spotify, sur X, peu après la publication de la proposition d'Apple. « Alors qu'Apple se comporte mal depuis des années, ce qu'ils ont fait hier représente un nouveau bas niveau, même pour eux ».

◾️Une insulte à la Commission européenne et aux millions de consommateurs européens qu'ils représentent

Apple n'a clairement aucune intention de se conformer à la DMA. Apple introduit de nouveaux frais sur les téléchargements directs et les paiements qu'ils ne font rien à traiter, ce qui viole la loi. Ce plan n’atteint pas l’objectif de la DMA d’accroître la concurrence et l’équité sur le marché numérique - il n’est ni juste, ni raisonnable, ni non discriminatoire » a déclaré Rick VanMeter, directeur exécutif de la Coalition for App Fairness. «La proposition d'Apple oblige les développeurs à choisir entre deux options anticoncurrentielles et illégales. Soit s'en tenir au terrible statu quo, soit opter pour un nouvel ensemble de termes compliqués qui sont mauvais pour les développeurs et les consommateurs. Il s'agit d'une nouvelle tentative de contourner la réglementation, comme nous l'avons vu aux États-Unis, aux Pays-Bas et en Corée du Sud. Le «plan» d'Apple est une insulte éhontée à la Commission européenne et aux millions de consommateurs européens qu'ils représentent - il ne doit pas se tenir debout et doit être rejeté par la Commission."

🍃Les mots sont durs, les développeurs sont en colère et les représailles pour les utilisateurs tentés d’aller voir ailleurs anticoncurrentielles, on en reparlera !!

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19 févr. 2024 à 13:19:26 via site

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⏩️Bruxelles va durement sévir contre Apple pour abus de position dominante⏪️

On attend de Bruxelles une décision forte contre Apple, il devrait proposer une amende antitrust de 500 millions d’euros, c'est peu quand Apple n'a clairement aucune intention de se conformer au DMA !!

◾️Apple devrait écoper d’une amende de 500 millions d’euros.

La Commission européenne devrait infliger une amende de 500 millions d’euros à Apple pour abus de position dominante, soit l’une des sanctions financières les plus importantes imposées par l’UE aux géants technologiques.

Cette sanction viendrait clôturer une affaire portée par Spotify devant la justice européenne en 2019. Selon le Financial Times, les régulateurs vont pencher du côté du service suédois, Apple ayant enfreint la réglementation européenne sur la concurrence.

La marque à la pomme est notamment accusée d’avoir empêché les plateformes de streaming musical d’informer les utilisateurs de l’existence d’alternatives d’abonnement moins onéreuses en dehors de l’App Store. Des « conditions commerciales déloyales », selon la Commission européenne. L’autorité antitrust européenne va infliger sa première amende à Apple, après avoir sévi à hauteur de 8 milliards d’euros à l’encontre de Google.

◾️Une petite amende et après ?

Le mois dernier, elle annonçait de nombreux changements à venir sur ses plateformes pour s’y conformer. Des nouveautés ciblées par pléthores de critiques de la part de ses rivales, qui estiment ces efforts insuffisants au regard de la nouvelle législation.

Pour la société suédoise Spotify, la taxe sur les téléchargements constitue un problème plus immédiat si elle devait accepter les nouvelles conditions commerciales d'Apple. « Avec une base d'installation Apple dans l'UE de l'ordre de 100 millions, cette nouvelle taxe sur les téléchargements et les mises à jour pourrait faire grimper en flèche nos coûts d'acquisition de clients, les multipliant potentiellement par dix », a déclaré Daniel Ek, PDG de Spotify, sur X, peu après la publication de la proposition d'Apple. « Alors qu'Apple se comporte mal depuis des années, ce qu'ils ont fait hier représente un nouveau bas niveau, même pour eux ».

La société risque également des poursuites aux États-Unis, où le département de la Justice envisage de l’inculper pour pratiques anticoncurrentielles.

🍃Une amende tout comme le DMA qui n’atteint pas l’objectif d’accroître la concurrence et l’équité sur le marché numérique, quand Apple n'a clairement aucune intention de se conformer au DMA, on en reparlera !!

— Modifié le 19 févr. 2024 à 19:20:31

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21 févr. 2024 à 17:35:21 via site

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L’UE inflige une risible amende à Apple

L’UE inflige donc une risible amende de 500 millions d’ euros à Apple, quand les développeurs obtiennent de lourdes sanctions, mais où sont donc passées les promesses de rétablir les règles de libre concurrence !!

Dans la procédure intentée en Europe par Spotify contre Apple pour abus de position dominante, Apple va devoir payer sa première amende à la Commission européenne, selon un rapport publié par le Financial Times. Si Apple risquait de payer une amende pouvant s'élever jusqu'à 10 % de son chiffre d'affaires annuel, elle ne serait que d’environ 500 millions d’euros, soit 0,14 % du chiffre d'affaires annuel. Un montant donc beaucoup plus dérisoire pour Tim Cook et les siens, qui ne manque pas de faire réagir.

Plusieurs analystes ont affiché leur déception. Florian Mueller, expert en brevets s'est ouvertement plaint de l'insuffisance de cette décision. Selon lui, cette décision « n'aidera personne en dehors du secteur du streaming musical, qui ne se réfère qu'aux règles anti-trust et qui prévoit une amende peu élevée par rapport, par exemple, aux affaires Google à milliards d’euros ». Pour lui, tout cela est même « risible ».

◾️Le PDG de Spotify affirme que les nouveaux frais appliqués par Apple constitue une « extorsion pure et simple »

Apple a annoncé récemment la prise en charge du sideloading et des boutiques d'applications tierces pour les utilisateurs en Europe. Ces changements historiques entrent dans le cadre des efforts d'Apple pour se conformer à la loi européenne sur les marchés numériques (DMA). Dans une tentative visant à limiter son manque à gagner, Apple a également profité de la situation pour réviser sa politique sur les commissions, introduisant de nouveaux frais pour les développeurs européens. Cela a attisé l'ire de la communauté et la liste des dirigeants d'entreprises qui ne sont pas enchantés par ces nouvelles politiques ne cesse de s'allonger.

Parmi eux, figurent le PDG de Spotify qui a déclaré que les changements apportés par Apple représentent « un nouveau coup bas ». Il s'est exprimé après un communiqué de son entreprise qui reproche au fabricant de l'iPhone d'agir comme s'il ne pensait pas que les règles s'appliquaient à lui. Spotify a déclaré que les nouvelles règles montrent qu'Apple ne recule devant rien pour protéger ses profits. Il a appelé les autorités à intervenir pour interdire les nouveaux frais.

Daniel Ek affirme qu'une offre alternative sur l'App Store pourrait potentiellement décupler les coûts d'acquisition de clients en raison de la nécessité de payer la commission même pour les non-abonnés. « Si nous parvenions à retirer notre application de l'App Store et à n'exister que dans un magasin d'applications tiers, cela ne fonctionnerait toujours pas. Avec une base d'installation Apple dans l'UE de l'ordre de 100 millions d'utilisateurs, cette nouvelle taxe sur les téléchargements et les mises à jour pourrait faire grimper en flèche nos coûts d'acquisition de clients, en les décuplant potentiellement », a-t-il déclaré.

🍃Avec une risible amende et pas de DMA pour Apple, on se demande bien où sont passés ceux qui devaient nous défendre des abus de positions dominantes des GAFAMés, on en reparlera !!

— Modifié le 21 févr. 2024 à 17:37:03

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28 févr. 2024 à 17:27:01 via site

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⏩️Saboter les applications web est indéfendable⏪️

Saboter les applications web sur IOS est indéfendable, les développeurs écrivent une lettre ouverte, l’Europe s’apprête à lancer une enquête !!

◾️Un sabotage indéfendable pour les développeurs

Nous vous écrivons pour vous faire part de notre inquiétude face à la décision d'Apple de supprimer les applications Web (PWA) d'iOS et de Safari dans l'Union européenne (UE), et pour faire valoir nos droits en vertu de la loi sur les marchés numériques (Digital Markets Act, DMA).

Apple considère les applications Web comme l'alternative ouverte à l'App Store, et les mesures prises pour les supprimer ont suscité de vives inquiétudes au sein de la communauté du web. Le fait qu'iOS réduise les applications Web à des raccourcis menace la perte de données et compromet le web en tant que plateforme fiable pour les utilisateurs d'iOS. Ces changements introduits silencieusement menacent des fonctionnalités essentielles telles que l'intégration avec iOS, les notifications push, le décompte des pages non lues et la possibilité de fonctionner en plein écran. Leur suppression brisera les Web Apps des étudiants, des gouvernements, des institutions de santé, des journalistes et des startups.

Des catégories entières d'applications ne seront plus viables sur le web. Plus inquiétant encore, nous savons qu'iOS n'inclura pas non plus d'API permettant aux navigateurs concurrents de mettre en œuvre ces fonctionnalités. Les utilisateurs, les développeurs et les entreprises, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'Union européenne, subiront ainsi un préjudice considérable, immédiat et permanent.

Les justifications d'Apple vont dans le sens de la sécurité et de la protection de la vie privée, mais elles sont au mieux infondées. Les applications web offrent une informatique sûre qui permet aux utilisateurs de contrôler leur navigateur, et l'ouverture d'iOS à des moteurs de navigateur concurrents renforcera la sécurité et la vie privée au lieu de les éroder. Les web apps propulsées par des navigateurs concurrents peuvent être plus sûres et plus performantes que les apps actuelles, et la suppression du support ne peut pas être justifiée par des raisons de sécurité. Les arguments d'Apple concernant la sécurité des navigateurs concurrents ont été rejetés de manière concluante par les régulateurs du monde entier, et cette situation n'est pas différente.

Nous, soussignés, "utilisateurs finaux" et "utilisateurs professionnels", invoquons nos droits au titre des articles 5 et 6 du DMA de l'UE. En particulier, nous faisons valoir notre droit au titre de l'article 6, paragraphe 7, qui garantit aux entreprises une interopérabilité effective avec les fonctionnalités logicielles du système d'exploitation.

En vertu de ces droits, Apple est tenu de préserver la fonctionnalité permettant à Safari et à d'autres navigateurs iOS d'ajouter des applications Web à l'écran d'accueil, de les exécuter dans des activités de premier niveau (et non dans des onglets), de les intégrer aux paramètres et autorisations iOS, d'activer les notifications push et le badge des icônes de l'écran d'accueil, et de les exécuter en mode plein écran.
En outre, nous affirmons que les changements proposés par Apple violent l'article 13 du DMA qui interdit les efforts anti-contournement par les gardiens désignés. Plus précisément, l'article 13(6) stipule ce qui suit : En vertu de ces droits, Apple est tenu de préserver la fonctionnalité permettant à Safari et à d'autres navigateurs iOS d'ajouter des applications Web à l'écran d'accueil, de les exécuter dans des activités de premier niveau (et non dans des onglets), de les intégrer aux paramètres et autorisations iOS, d'activer les notifications push et le badge des icônes de l'écran d'accueil, et de les exécuter en mode plein écran.

En outre, nous affirmons que les changements proposés par Apple violent l'article 13 du DMA qui interdit les efforts anti-contournement par les gardiens désignés. Plus précisément, l'article 13(6) stipule ce qui suit : Loi sur les marchés numériques de l'UE, article 13(6) Le gardien ne doit pas dégrader les conditions ou la qualité des services de la plate-forme principale fournis aux utilisateurs professionnels ou aux utilisateurs finaux qui se prévalent des droits ou des choix prévus aux articles 5, 6 et 7, ou [...]."

Il est encore possible pour Apple de faire marche arrière et de préserver les fonctionnalités essentielles sur lesquelles les utilisateurs et les développeurs iOS s'appuient depuis 2007, lorsque Steve Jobs a introduit les applications Web pour l'iPhone. La dégradation de ces fonctionnalités dans iOS et Safari n'est pas requise par le DMA. Nous encourageons Apple à s'engager avec toutes les parties prenantes de manière urgente, transparente et de bonne foi pour restaurer et améliorer ces fonctionnalités essentielles.

◾️L’Europe s’apprête à lancer une enquête

Avec iOS 17.4, Apple met fin aux web app en Europe pour se conformer au Digital Markets Act, mais la Commission européenne a envoyé des questions au constructeur pour qu'il explique sa décision. Cela pourrait mener à une enquête formelle.
"Nous examinons en effet la conformité de tous les gatekeepers, y compris Apple. Dans ce contexte, nous étudions particulièrement la problématique des progressive web apps, et pouvons confirmer l’envoi de demande d’informations à Apple et aux développeurs d’applications, qui pourront nous fournir des informations utiles à notre évaluation“, confirme la Commission européenne au Financial Times.

🍃Une enquête qui traîne encore quand Apple bombarde massivement le DMA et l’intégralité de nos droits, on en reparlera !!

— Modifié le 28 févr. 2024 à 17:29:29

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4 mars 2024 à 10:22:21 via site

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⏩️34 entreprises s’unissent contre Apple : une lettre ouverte à la Commission européenne pour dénoncer les pratiques anticoncurrentielles⏪️

34 entreprises s’unissent contre Apple, dont Spotify, Deezer, Cafeyn, Epic Games et l’Alliance Digitale pour dénoncer ses pratiques anticoncurrentielles !!

Les signataires de la lettre ouverte dénoncent les propositions d’Apple, qu’ils jugent « manifestement incompatibles » avec le DMA. Ils citent notamment des exemples de pratiques « scandaleuses », comme la nouvelle structure tarifaire visant à renforcer la domination d’Apple sur les développeurs d’applications, ou encore l’utilisation d’« écrans effrayants » destinés à induire les utilisateurs en erreur et à soulever des préoccupations infondées en matière de protection des données et de sécurité.

Les entreprises appellent la Commission européenne à prendre des mesures « rapides, opportunes et décisives » contre Apple pour garantir la crédibilité du DMA et assurer des marchés numériques compétitifs. Elles estiment que les propositions d’Apple portent atteinte aux efforts déployés par la Commission européenne et les institutions européennes pour rendre les marchés numériques plus équitables et concurrentiels.

Dès jeudi, les autorités européennes examineront de près les changements apportés par Apple pour s’assurer qu’ils sont conformes aux exigences du Digital Market Act.

🍃Un système d’extorsion de fonds pour les développeurs et punitif pour les utilisateurs dont on attend une réaction solide, une réaction forte, une réaction ferme de l’Europe, on en reparlera !!

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4 mars 2024 à 17:23:12 via site

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Des paroles aux actes !

Des paroles aux actes, la Commission européenne vient d’annoncer une amende de 1,8 milliard d’euros à Apple et c'est un bon début !!

Pendant une décennie, Apple a abusé de sa position dominante sur le marché de la distribution d’applications de streaming musical par l’intermédiaire de l’App Store », a déclaré Margarethe Vestager, vice-présidente exécutive de la Commission européenne. « Elle l’a fait en empêchant les développeurs d’informer les consommateurs sur les autres services musicaux, moins chers, disponibles en dehors de l’écosystème Apple. »

De son côté, Spotify a félicité une “décision qui marque un moment important dans la lutte pour un internet plus ouvert pour les consommateurs. {…] Aucune entreprise, pas même avec un monopole comme celui d'Apple, ne peut abuser de son pouvoir pour contrôler la manière dont les autres entreprises interagissent avec leurs clients.”

🍃Une décision très attendue en attendant que Apple se conforme enfin au DMA sans pénaliser ni les développeurs et encore moins ses utilisateurs, on en reparlera !!

— Modifié le 4 mars 2024 à 17:33:47

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22 mars 2024 à 10:02:12 via site

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Le département de la Justice inculpe Apple pour abus de position dominante

Le département de la Justice inculpe Apple pour abus de position dominante et d’avoir eu recours à des pratiques anticoncurrentielles pendant des années pour asseoir le monopole de l’iPhone !!

Dans un document de 88 pages, le DoJ, accompagné des procureurs généraux de seize États, détaille de nombreuses pratiques mises en place par Apple pour maintenir sa position de leader du smartphone aux États-Unis, où l’iPhone détient 65 % du marché. L’instance accuse le géant de la tech d’avoir violé le Sherman Act, principale loi américaine sur la concurrence, dans une affaire qui pourrait constituer l’une des plus importants procès antitrust de l’histoire du pays.

Nous alléguons qu’Apple a maintenu un pouvoir monopolistique sur le marché des smartphones, non seulement en restant en tête de la concurrence sur le mérite, mais aussi en violant la loi antitrust fédérale. Si elle n’est pas remise en cause, Apple ne fera que renforcer son monopole », assène le procureur général Merrick B. Garland.

« Le comportement d’exclusion généralisé d’Apple fait qu’il est plus difficile pour les Américains de changer de smartphone, compromet l’innovation en matière d’applications, de produits et de services et impose des coûts extraordinaires aux développeurs, aux entreprises et aux consommateurs », estime le DoJ.

Le blocage de super-applications, la suppression de services mobiles de cloud streaming, l’exclusion des messageries multiplateformes, la diminution des fonctionnalités des montres intelligentes autres que celles d’Apple et la limitation des portefeuilles numériques tiers sont notamment cités.

🍃Des pratiques monopolistiques qui ont tout d’un régime despotique, on en reparlera !!

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