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EditosCasquesLe fil me branche à nouveau : pourquoi je laisse tomber les écouteurs Bluetooth
Depuis longtemps, les écouteurs Bluetooth semblaient offrir le summum en terme d’audio. Avec la liberté du sans fil, des fonctionnalités telles que la réduction active du bruit (ANC) et une avalanche de gadgets contrôlés par des applications, Bluetooth, c’était la promesse de l’expérience d’écoute ultime, du moins en apparence, et je me suis longtemps laissé convaincre que cette technologie était l’avenir de l’expérience auditive. Mais après une odyssée dans ce monde labyrinthique de l’audio sans fil, je suis retourné vers un vieil ami analogique : le casque à fil. Voici les raisons de ce retour en arrière.
Mon odyssée audio personnelle a été une véritable « grande traversée » du marché mondial des écouteurs : intra-auriculaires, circum-aural, supra-aural, en oreille ouverte… J’ai essayé et testé plus de modèles que la plupart des gens ne possèdent de paires de chaussures. Malgré toute cette diversité technologique, la question clé a toujours été la même : le son est-il à la hauteur ? Et surtout, qu’en est-il du niveau de confort ? Car même la meilleure qualité sonore ne veut pas dire grand-chose si un arceau exerce une pression insupportable après peu de temps, comme c’est le cas du Melomania P100. En tant que passionné de musique qui écoute plusieurs albums d’affilée, le casque doit « s’effacer » et donner l’impression de faire partie de mon corps.
Luxe ou instabilité ? Le talon d’Achille des appareils haut de gamme
La technologie audio sans fil a fait des progrès impressionnants au cours des dernières années. L’ANC, en particulier, est désormais si sophistiquée qu’elle donne d’excellents résultats même avec des modèles à prix réduit, comme le 1More SonoFlow. Sur le papier, les arguments en faveur des écouteurs Bluetooth semblent convaincants : pas de câbles, des fonctions supplémentaires pratiques et une autonomie qui dure et dure encore. Mais c’est là que se cache le véritable problème : cette prétendue perfection cache un gros défaut.
J’ai trop souvent vu la promesse de longévité ne jamais être tenue. Prenez les Sony WF-1000XM4, lancés en 2021 pour la coquette somme de 280 euros : ils sont devenus l’exemple parfait d’obsolescence programmée. Juste après l’expiration de la garantie de deux ans, la batterie a rendu l’âme, n’offrant désormais plus que quelques minutes d’écoute. Le même sort a été réservé aux LinkBuds S. Même si les défaillances techniques sont toujours possibles, il est inacceptable qu’un produit haut de gamme d’un fabricant renommé se devienne qu’un vulgaire bout de plastique au bout de deux ans seulement. Sony ne s’est pas beaucoup exprimé sur le sujet, et a perdu ma sympathie par la même occasion.
Fin de la lune de miel, et 340 euros partis en fumée
Le cas des Sennheiser Momentum 4 fait également mal. À l’origine un chef-d’œuvre en termes de son, de confort et d’ANC, ces écouteurs à 340 euros ont développé de graves défauts après seulement deux ans et demi. Tout d’abord, ce sont les coussinets qui ont rendu l’âme. Soit, ce n’est pas trop problématique : il a suffit de débourser quelques euros pour en obtenir une paire neuve, et le remplacement n’a pris que 30 secondes. Mais les problèmes ont continué : j’ai commencé à ressentir des soucis de connexion constants. Ceux-ci étaient certes encore tolérables au début, mais se sont aggravés par la suite, donnant lieu à des coupures de son régulières et des grésillements gênants qui se sont inévitablement superposés à la musique. Les forums en ligne regorgent d’utilisateurs confrontés à ce même problème. Du coup, on ne peut qu’être désabusé devant le constat final : un produit prétendument haut de gamme dont la durée de vie n’atteint même la moitié de celle d’un smartphone. Vraiment ? Lorsqu’on dépense 340 euros pour des écouteurs, on est en droit de s’attendre à ce qu’il s’agisse d’un investissement sur le long terme. Au lieu de cela, j’ai été déçu par ces écouteurs qui se sont révélés n’être que des appareils jetables.
Bose est une autre marque haut de gamme du marché de l’audio qui m’a déçu en matière de casques. Les QuietComfort Earbuds II, que j’avais jugés presque parfaits lors de mon test d’il y a deux ans et demi, sont également tombés en lambeaux depuis, sans compter que l’appareil affichait déjà un problème de charge depuis un certain temps déjà. Là encore, exactement le même constant : on débourse 300 euros dans des écouteurs qui ne survivent même pas à l’intervalle entre deux sorties d’album. Bien sûr, un peu de superglue dessus et c’est reparti pour un tour, mais la qualité offerte est loin d’être digne des mots « haut de gamme ».
Bye bye Bluetooth : le filaire me tend à nouveau les bras
Avec toutes ces déceptions, j’ai cherché refuge dans les valeurs sûres. Retour au Beyerdynamic DT 770 Pro, qui est un casque que je possède depuis un bon moment déjà. Un casque dont la production n’a pratiquement pas changé depuis 1985. Un casque qui ne coûte même pas la moitié du Momentum 4, et qui offre en contrepartie un mélange imbattable de longévité et de précision acoustique. La majeure partie de la production est toujours réalisée en Allemagne, et cela se ressent dans la qualité des matériaux. Leur son est si précis que j’ai presque une révélation à chaque fois que je les utilise.
Certes, ces écouteurs sont filaires, mais ce qui semble être un inconvénient se transforme en atout au quotidien. Au bureau ou sur le canapé, c’est-à-dire les endroits où j’écoute la plupart du temps de la musique, le câble n’a aucune importance. Bien au contraire, l’absence de batterie signifie qu’il n’y a pas de risque à ce que celle-ci vienne à tomber en panne. Et j’en profite également sans problème de connexion, sans obsolescence programmée et sans la sensation désagréable d’avoir investi dans un plaisir qui va disparaître très tôt. Et s’il est indéniable que l’ANC est particulièrement pratique pour les avions, le grand confort offert par Beyerdynamic, associé à une isolation phonique passive exceptionnelle, offre une expérience d’écoute plus que suffisante pour la vie quotidienne. C’est un retour à la simplicité que, parfois, la meilleure technologie est celle qui fonctionne de manière durable.
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Expertise von
Blasius Kawalkowski
Technik, Musik und Fotografie. Das sind Dinge, die mich mein ganzes Leben lang begleiten. Schon als Kind hörte ich U2, Van Halen und Billy Idol auf einem Tonbandgerät. Dabei war ich sowohl vom Rock der 80er-Jahre als auch von der Bandmaschine selbst fasziniert. Heute sind es eher Kopfhörer und Bluetooth-Lautsprecher die immer noch die sehr Rock-lastige Musik in mein Gehör bringen. Keine Frage: Spotify ist kolossal! Aber ich bin der CD treu geblieben. Ich liebe es, eine CD in den Händen zu halten, das Cover anzusehen, sie einzulegen und ein ganzes Album am Stück zu hören.
Neben der Begeisterung für Musik liebe ich es, zu fotografieren. Bereits mit sechs Jahren machte ich die ersten Fotos mit einer analogen Kamera meines Vaters. Mitte der 80er also war der Weg zum Technikjournalisten bereits eingeschlagen – und ich ahnte noch nichts davon. Noch heute fotografiere ich unter anderem mit der 50 Jahre alten Zenit B meines Vaters – aber auch mit dem Handy und einer DSLM.
Trotz der Begeisterung für antiquierte Technik freue ich mich über Innovationen in der digitalen Welt und versuche, Trends aufzuspüren. Ob der Übergang von Autos mit Benzin- und Dieselmotor zum E-Auto, ob künstliche Intelligenz oder banale Themen aus dem Alltag, die für viele Menschen aber eine große Bedeutung haben: Ich lasse mich für fast alles begeistern. Und so zu erklären, dass es auch Techniklaien verstehen.
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Je le dis souvent, un casque filaire Beyerdynamic c’est le poids de sa signature sonore qu’il porte sur la pointe des pieds afin de charger le pas de la gravité sans rien lui ôter de sa grâce, du son à l’état pur et c’est plus que nécessaire !!
Je le dis souvent, un casque filaire Beyerdynamic c’est le poids de sa signature sonore qu’il porte sur la pointe des pieds afin de charger le pas de la gravité sans rien lui ôter de sa grâce, du son à l’état pur et c’est plus que nécessaire !!